Évaluation

Conférence de consensus du CNESCO : l’évaluation en classe,  au service de l’apprentissage des élèves (2022)

Dans le quotidien des classes, l’évaluation est une activité courante qui recouvre une grande diversité de situations plus ou moins visibles. Lorsqu’un enseignant observe ses élèves en train de travailler ou qu’il prend connaissance de ce qu’ils ont fait en classe ou à la maison, quand il les interroge oralement, il évalue : pour ajuster son cours, guider les élèves dans une tâche, accompagner leurs progrès. Cette évaluation que pratiquent les enseignants au quotidien est ainsi un outil au service de l’apprentissage des élèves. lire

Avec ou sans note… l’évaluation, un indicateur sur la conception du métier

Jacqueline BONNARD – 2016

Quel que soit le lieu d’exercice, quel que soit le métier, l’évaluation joue un rôle social de régulation tout comme elle permet au professionnel de rendre compte de son activité dans le domaine qui lui est propre. Dans une société où le savoir se marchandise, on assiste à une inflation de dispositifs visant à :

– vérifier la présence d’attendus plus ou moins explicites mais toujours portés par une échelle de valeurs,
– situer  les individus ou leurs productions par rapport à un niveau
– juger chacun de « la compétence à… ».
Dans notre système éducatif, l’évaluation cristallise toutes les tensions entre les différents acteurs tant l’importance qui est faite d’une sélection par la note, est prégnante dans les représentations des usagers et des professionnels.
Comment peut-il en être autrement lorsque l’enseignant est à la fois le formateur qui transmet les connaissances et capacités associées en s’appuyant sur les programmes d’enseignement, l’évaluateur qui attribue une valeur à la production de l’élève à partir d’attendus plus ou moins explicites, le sélectionneur qui oriente l’élève en fonction des résultats obtenus ?
Comment peut-il en être autrement lorsqu’un même outil de mesure traverse l’évaluation formative, l’évaluation sommative et l’orientation scolaire : la notation chiffrée ?
Soumis aux injonctions institutionnelles qui poussent à entrer dans le système de notation – sans pour autant que le texte législatif ne l’impose -, pressés par les élèves et leurs familles pour lesquels la note reste un outil de mesure rassurant, les enseignants exercent en tension entre le désir d’installer les conditions propices à la réussite de tous leurs élèves et le souci de rendre compte des effets de leur activité professionnelle. Mais le calendrier scolaire ponctué de bilans multiples peut-il s’accommoder du temps nécessaire à la formation ? C’est tout le paradoxe d’une évaluation lorsque sa fonction sociale (rendre compte des résultats de l’élève, de la compétence professionnelle de l’enseignant) prend le pas sur sa fonction pédagogique (se rendre compte des progressions de l’élève, de l’efficience des situations pédagogiques mises en oeuvre). Et de ce fait, on a tendance à évaluer davantage la réussite de l’élève par rapport à une performance attendue que le processus et le travail effectué par rapport à une situation initiale.
Au-delà de ce constat, l’acte d’évaluer est révélateur de la conception même du métier selon qu’on évalue en pointant « le manque » ou qu’on s’appuie sur le potentiel de chacun des élèves. On pourrait penser que le diagnostic qui permet de visualiser ce qui n’est pas acquis par l’élève place l’enseignant en situation de réguler les apprentissages en proposant de nouvelles activités visant l’acquisition souhaitée. Mais le plus souvent, cela donne lieu à des « remédiations » dont la forme pose problème : exercices individuels répétitifs centrés sur des tâches parcellaires qui font perdre leur sens aux savoirs visés. Même si ces exercices ont un caractère rassurant pour celui qui s’y soumet car ils donnent une impression de réussite immédiate, les études montrent qu’ils n’ont que peu d’impact sur les performances ultérieures. Ce qui désespère l’élève et… l’enseignant. Le mythe de « la tête bien pleine » grâce à une méthodologie qui aurait fait ses preuves depuis des siècles s’oppose au sens même des apprentissages qui s’appuient sur un processus où la complexité est reine. Même si l’on n’apprend que seul et au prix d’efforts pour mémoriser les connaissances visées, c’est dans une construction collective que s’élaborent et se transmettent les savoirs. Mais pour cela, il faut être convaincu de l’éducabilité de tous les élèves et élaborer des séquences d’enseignement en s’appuyant sur le potentiel de chacun d’entre eux non pour les mettre en concurrence mais en synergie.
Les programmes de 2015 préconisent une évaluation bienveillante de la maternelle au collège laissant perplexes les enseignants quant à l’application de ces directives : comment suivre chaque élève dans sa progression ? comment ne pas passer tout son temps à évaluer au détriment d’une approche plus souple, laissant le temps au temps, afin que chacun atteigne les objectifs visés sans être stigmatisé ? comment de pas tomber dans une individualisation niant la puissance du collectif dans les apprentissages ? Et quelle formation sera mise en place pour aborder ces nouvelles modalités ?
Le ministère actuel met en place des évaluations au CP, CE1, au collège pour « connaître les compétences  de chaque élève » mais à aucun moment, les enseignants n’ont été associés à leur conception ni même à l’analyse des résultats. Cette entrée par les compétences qui serait associée à la mise en oeuvre de « bonnes pratiques » à appliquer  pour « un bon apprentissage de la lecture et des mathématiques » remet en cause la conception du métier : concepteur de ses pratiques ou excécutant de vademecum ?
« Evaluer, c’est faire sortir les valeurs », nous dit André de Perreti. Dans une perspective de réussite et de développement de chaque apprenant, n’y a-t-il pas des choix à effectuer parmi les différentes pratiques d’évaluation ? Quelles sont les marges de manoeuvre d’un enseignant, d’un formateur entre des choix éthiques portés par des valeurs d’égalité et d’émancipation et les contraintes institutionnelles ?
Ce dossier vise à approfondir cette question qui revient avec force dans l’actualité.
Jacqueline BONNARD

Documents ministériels

Le BOEN n°3 du 21 janvier 2016 précise les modalités de suivi et d’évaluation des apprentissages des élèves du cycle 1.

Le décret n° 2015-1929 du 31 décembre 2015 relatif à l’évaluation des acquis scolaires des élèves et au livret scolaire, à l’école et au collège (article 8).
 
L’arrêté du 31 décembre 2015 portant le modèle national de la synthèse des acquis scolaires de l’élève à l’issue de la dernière année de scolarité à l’école maternelle.
 
La note d’accompagnement pour une évaluation bienveillante dès l’école maternelle. 
Cette note présente les deux nouveaux outils destinés à la mise en oeuvre du suivi des apprentissages à l’école maternelle,  et à la communication des  progrès des élèves : un carnet de suivi des apprentissages renseigné tout au long du cycle, une synthèse des acquis de l’élève, établie à la fin de la dernière année du cycle 1. 
 
Sur le site le l’ESENESR, l’intervention de Viviane Bouysse lors de la semaine de l’inspection générale en décembre 2015. En particulier, le module « pour une évaluation des enfants-élèves avec bienveillance »
Avant de présenter la refondation de l’école maternelle, Viviane Bouysse, fixe les enjeux de cette école particulière. Elle présente alors les outils en listant toute la réglementation renouvelée et les ressources qui l’accompagnent. Mais ce sont surtout sur les points de vigilance qu’elle insiste, sur le nouveau programme, l’évaluation positive, le bon usage du temps, les évolutions organisationnelles, les continuités à organiser et enfin sur les partenariats.
 
Premières propositions pour l’évaluation et la validation de l’acquisition du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture. Lire
 
La notation et l’évaluation des élèves éclairées par des comparaisons internationales – Rapport de L’IGEN – N° 2013-072 – Juillet 2013
Ce rapport a pour objet de faire un état des lieux des pratiques de notation et d’évaluation des acquis des élèves de l’école primaire ou de collège, d’en mesurer les évolutions, d’identifier les résistances « au changement » et d’en comprendre les fondements. La dernière partie du rapport propose quelques pratiques d’évaluation à l’étranger. Lire le rapport
L’évaluation des enseignants – Rapport de l’IGEN – n°2013-035- avril 2013
Cette étude s’inscrit dans le contexte de la loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école. Elle vise à recenser, clarifier et expliciter les pratiques de l’évaluation des enseignants et dégager un nouveau cadre général adéquat à la réalité de ce début du XXIème siècle. Très détaillée et sans concession sur les pratiques d’évaluation et leurs effets souvent dévastateurs sur les enseignants, ce rapport pointe le caractère réducteur et inapproprié de la note pour juger de l’efficacité professionnelle de l’enseignant. Dix préconisations parmi lesquelles : Donner un rôle formatif à l’évaluation. Mettre à l’étude la suppression de la notation. Élaborer des critères nationaux d’évaluation. Lire le rapport
Bilan de la mise en oeuvre des programmes issus de la réforme de l’école primaire de 2008 – Rapport de l’IGEN – n°2013-066 – juin 2013
Ce rapport prend appui sur une enquête menée entre les mois de décembre 2012 et avril 2013 auprès d’IEN et d’enseignants d’un panel d’écoles représentatif. Il présente un bilan très mitigé qui met en évidence la lourdeur de ces programmes rapportée au temps réel de classe. Sans accompagnement et en l’absence d’une formation adaptée, toute entrée en application de nouveaux textes semble vouée à l’échec. L’inspection générale « appelle de ses voeux une articulation renforcée et clarifiée entre le socle commun de connaissances, de compétences et de culture et les programme ou la rédaction de liens explicites entre les disciplines. » Lire le rapport

Articles et pratiques du GFEN

De quelques principes à propos de l’évaluation – Henri Bassis lire l’article
 
La Bienveillance en éducation – Jacques Bernardin
Thème apparu lors de la consultation de l’été 2012, « l’école de la  bienveillance » est repris depuis, que ce soit dans les propos ministériels comme dans les débats concernant la Refondation de l’école. Celle-ci serait-elle affaire de bons sentiments ?
Comme tous les termes consensuels, la « bienveillance » mérite qu’on s’y arrête afin d’en préciser les contours et les limites. Que l’on soit parent, enseignant, éducateur, animateur ou travailleur social, chacun sait qu’il ne suffit pas de vouloir le bien de l’autre pour le réaliser. Si la malveillance et la négligence ne sont jamais souhaitables, combien d’histoires personnelles ont été contrariées au nom du « c’est pour ton bien ! ». Nos façons de faire étant corrélées aux représentations de l’enfant, de ses potentialités et de ses besoins, l’action éducative gagne à être réfléchie et collectivement discutée pour converger au mieux. Lire l’article
 
Tous capables ! Du pari éthique à la loi d’orientation – Jacques Bernardin
Sujet de controverses lors du débat parlementaire, audace défendue au Sénat avant d’être ratifiée par l’Assemblée nationale, l’idée que « tous les enfants partagent la capacité d?apprendre et de progresser » est désormais inscrite dans la loi de juillet 2013 en tant que principe de l’éducation.
« Tous capables ! » La formule portée avec audace par le GFEN (mouvement pédagogique héritier de Langevin et de Wallon, présidents successifs de 1936 à 1962) fut d’abord un parti-pris éthique (relevant d’une philosophie de l’éducation) et simultanément un défi pédagogique (pour en attester) avant de trouver un étayage scientifique, puis de devenir un principe institutionnalisé. Lire l’article
Université d’été du secteur Langues – Ethique et évaluation – août 2014 lire l’article
C’est le moment ou jamais d’apprendre à se passer d’un maître… Cécile Victorri
J’enseigne à Sarcelles, en banlieue parisienne, et contrairement à ce qu’on pourrait peut-être s’imaginer, mes élèves ont souvent complètement intériorisé les enjeux de l?école : les notes, l’objectif du bac, l’orientation par la sélection. De ce fait, leur demande est parfaitement claire : des notes convenables, pour leur permettre d’accéder à des études supérieures d’une qualité raisonnable. Lire l’article
Supprimer les notes au collège pour retrouver le plaisir et l’envie d’apprendre – Christèle Thiriet
« Que perdrait-on à supprimer les notes ? Et que nous apporterait un système d’évaluation sans notes, mais uniquement par compétences ? » Retour sur le projet dans un collège rural d’une autre pratique de l’évaluation. Lire l’article
L’évaluation entre tensions et questions : changer le moteur de l’action – Jean-Marc Richard ( Groupe Roman d’Education Nouvelle)
Tout le monde devrait le savoir : il n’y a rien de scientifique à l’utilisation du chiffre pour mesurer, évaluer les faits humains. D’abord parce qu’ils sont complexes, singuliers et de ce fait irréductibles à une norme, qu’ils s’inscrivent dans une histoire – sociale et personnelle – qui n’est pas universelle. Qu’ils relèvent autant de procédures et de choix explicables que d’habitudes et de processus inconscients. Et qu’il n’y a pas d’aune pour mesurer cela. Lire l’article 
Construire la vigilance orthographique – Jean Bernardin
« Orthographe : construire vigilance et appétence », janvier 2014.
Les contenus de savoir en orthographe sont généralement appréhendés comme des règles à appliquer, des exercices répétitifs pour des résultats parfois médiocres au regard de l’investissement de l’enseignant et de l’élève. Il s’agit donc de modifier le rapport à la langue en permettant aux élèves de construire du sens à la nécessité d’écrire correctement, des attitudes opératoires (vigilance) et des savoirs sur la langue (compétence). Lire l’article
Qu’as-tu appris à l’école, mon fils, à l’école aujourd’hui… – Jean-Louis Cordonnier
Il faut l’affirmer : l’évaluation – surtout à la dose pratiquée – inculque aux élèves l’esprit de concurrence et de compétition qui sont au fondement des valeurs libérales. La compétition ne fait pas mieux apprendre ; la compétition fait moins bien apprendre. Lire l’article 

Formation

Journée nationales sur l’évaluation – Paris, 11 et 12 décembre 2014 – Compte-rendu d’Isabelle Lardon
 
Conférences de consensus ESPE Créteil – 2011 – L’action d’évaluer et ses pratiques dans le champ scolaire. Accéder au site
Enregistrements vidéos des interventions : Marc Bru, Georges Figari, Martine Rémond, Lucie Mottier-Lopez, Léopold Paquay, Jean-Marie De Ketele.

Numéros de revues dédiés

L’observation et l’évaluation au service du progrès des élèves en EPS – Dans la collection des dossiers « Enseigner l’EPS », ce dossier constitue les Actes de la Biennale de l’AE-EPS des 17 et 18 octobre 2015. En savoir plus
 
Revue Diversité N° 169 – juillet 2012 – La pression évaluatrice – Quelle place pour les plus faibles ? Accéder au sommaire
 
CRAP – Cahiers Pédagogiques N° 491 – octobre 2011 : Evaluer à l’heure des compétences. Accéder au sommaire
 
ICEM : Le Nouvel Educateur n° 189 – Evaluer, s’évaluer en pédagogie Freinet. Accéder au sommaire

Des livres

L’évaluation formative au coeur du processus d’apprentissage. Des outils pour la classe et la formationMaria-Alice Médioni, Préface Charles HadjiChronique sociale (2016)

C’est de ce processus dynamique, intégré au processus d’apprentissage, dont l’objectif est de faire évoluer les apprenants vers une meilleure compréhension des savoirs et des enjeux, qu’il est question dans cet ouvrage.
Il s’agit de partager une réflexion et des pratiques tournées vers l’évaluation considérée comme un processus formateur et transformateur des actions et des personnes. en savoir plus

Evaluer sans noter. Eduquer sans exclure
Coordination Michel Neumayer, Etiennette Vellas. Une production du LIEN
Chronique sociale (2015)

‘Né du sentiment d’urgence qu’il faut au plus vite nous « désintoxiquer » de la note à l’école, ce livre entend relever un triple défi : convaincre les citoyens des méfaits sur l’éducation d’une estimation chiffrée, outil de sélection ; décrire des alternatives non-chiffrées en matière d’évaluation ; s’interroger sur comment éduquer et évaluer sans exclure. Soit « dé-chiffrer l’humain ». en savoir plus

L’évaluation, plus juste et plus efficace : comment faire ? – Florence Castincaud, Jean Michel Zakartchouk – éditions Canopé (2014 )

 
L’évaluation dans les systèmes scolaires – Accommodements du travail et reconfiguration des professionnalités – Vincent Dupriez et Régis Malet – Bruxelles : De Boeck (2013)
Cet ouvrage décrit les politiques et dispositifs d’évaluation des écoles et des enseignants dans différents pays. Il met en évidence la manière dont ces dispositifs ont une incidence sur le travail des enseignants et sur leurs identités professionnelles.
 
Faut-il avoir peur de l’évaluation? – Charles Hadji – Bruxelles : De Boeck (2012)
 
L’évaluation : une menace ? ouvrage collectif de la collection Apprendre des PUF (2011), suivi d’un entretien avec Fabrizio Butéra de l’Université de Lausanne.

Les élèves, connaissances, compétences et parcours – Hélène Quéré – DEPP – 2011
L’évaluation des compétences par les enseignants est-elle juste? La question est posée par la Direction des études et prospectives (DEPP) dans cet ouvrage.
Du socle commun à la carte scolaire, en passant par le rôle du travail personnel, cet ouvrage apporte les éclairages sur tous les aspects d’un parcours d’élève, en s’arrêtant aussi sur des questions primordiales : quelle est la part des déterminants socio-économiques dans la performance des élèves ? Comment évaluer réellement celle-ci ?
sur le site de la documentation française

Des dossiers

Centre Alain Savary : Que signifie « évaluer les élèves » ? Accéder au dossier
 
Dossiers de veille scientifique
  • IFé – Service Veille et Analyses – Dossier de veille de l’IFé n°94 – septembre 2014 : Evaluer pour mieux apprendre – Olivier Rey et Annie Feyfant. Accéder au dossier
Un dossier d’analyse très fourni  du service de veille de l’ifé qui parcourt de nombreux questionnements. Est-ce qu’on évalue les élèves ou le système ? N’y a-t-il pas des confusions dans les usages, les fonctions ? Evaluer pour mesurer, contrôler en tension avec évaluer pour former… avec des comparaisons internationales et un long développement sur les rapports entre apprentissage et évaluation.

  • IFé – Service Veille et Analyses – Dossier d’actualité n°65 – septembre 2011 : Effets des pratiques pédagogiques sur les apprentissages – Annie Feyfant. Accéder au dossier

 

  • INRP – Service de veille scientifique et technologique – Dossier d’actualité n° 39 – novembre 2008 : L’évaluation au coeur des apprentissages – Laure Endrizzi et Olivier Rey. Accéder au dossier
Un dossier syndical : SGEN – EVALUTIONS  (2009). Accéder au dossier

En complément

 
Pour une évaluation bienveillante,  un exemple de modalité d’évaluation : le cahier de réussite en maternelle lire
 
Peut-on changer l’évaluation? un article de François Jarraud sur l’expresso du Café Pédagogique (19 nov 2014) lire
L’évaluation: une vraie question politique, Claude Lelièvre lire
 
Ethique et évaluation – Bernard Rey, intervention à l’université d’été du secteur Langues (août 2014) lire
 
Une histoire de la note… et de sa contestation – Grégory Chambat, CNT éducation 78 – Revue N’autre école
Un article très intéressant qui s’appuie sur les travaux d’Olivier Maulini,  où l’on découvre que la notation telle qu’on la connait aujourd’hui est une pratique récente. Lire
 
Evaluer autrement la dictée pour apprendre l’orthographe
  • Une nouvelle évaluation : construction et expérimentation d’un barème graduel pour l’exercice de la dictée, Olivier Barbarant (Inspecteur Général). Lire
  • Changer la dictée pour mieux apprendre l’orthographe – entretien accordé par Olivier Barbarant (Inspecteur Général) au Café pédagogique.
  • Vers une évaluation positive de l’orthographe, La position de l’Association française des enseignants de Français (AFEF). Sur le café pédagogique
Evaluer les compétences : obstacles et solutions pour l’enseignant d’EPS – Stéphane Roubieu. Lire

Le bosseur, le fumiste, les touristes et le forçat – Formes du travail lycéen et pratiques de formation – Anne Barrère. Lire
réalisation : Isabelle Lardon, Jacqueline Bonnard