Philosophie – des pratiques..

Prendre pouvoir sur la parole, Philippe Lahiani et Pascale Billerey
Revue Dialogue Hors Série « Prendre pouvoir sur l’écrit« , décembre 2011
 
Comment mettre en place des conduites langagières en rupture avec celles où majoritairement le formateur interroge le(s) formé(s) réponde(nt) aux questions ? Comment donner enfin l’occasion aux élèves eux-mêmes de questionner, raisonner, justifier, argumenter ?
Des repères pour installer un débat philo, un débat mensuel, un débat de preuves en classe et cela dès le CP. lire
 
 
 
La recréation de texte, une démarche pour la philosophie, Nicolas Lechopier et Mathieu Triclot
Revue Dialogue n°114 « Spécial pratiques« , octobre 2004
 
« La recréation de texte » une démarche phare du GFEN et utilisée le plus souvent dans le premier degré. Mais à l’université, ça marche ? Deux enseignants l’ont testée avec des étudiants pour travailler un texte de Platon et mettre en place dès le début de l’année des modes de travail collectifs. lire
 
 
« Les aventures de la pensée dans l’écriture » ou Que fait un élève lorsqu’il écrit une dissertation ? Nicole Grataloup
Revue Dialogue n°77 « Apprendre est-ce une question de méthodes ?« 
 
Y a-t-il une méthode pour réussir une dissertation philosophique ? L’auteur identifie les problèmes que cristallise le mot « méthode » : chemin obligé ou règle à suivre ? L’apprentissage de la dissertation passe par l’apprentissage de la normativité, ce qui suppose qu’un autre rapport s’instaure entre l’élève et ce qu’il écrit, qu’il puisse comprendre comment et pourquoi il a écrit ce qu’il a écrit. L’article décrit une réflexion conjointe élèves/professeur  menée sur une année scolaire autour de la « méthode ».  lire
 
 
 
Le procès d’Antigone Nicole Grataloup
Revue Dialogue n°77 « Apprendre est-ce une question de méthodes ?« 
 
Comment mettre en débat, en classe ou avec des adultes, un ensemble de questions aussi complexes que celles-ci : qu’est-ce qui est juste ? Est-ce ce que dit le droit, ou la loi positive ? La démarche proposée ici et de faire revivre aux élèves le procès d’Antigone en s’appuyant sur deux extraits de Sophocle. Chacun campant un ou l’autre des protagonistes s’exerce à l’argumentation tout en s’appropriant progressivement les termes du problème.  lire
 
 
 
 
Voir également : 
  • Philosopher, tous capables, Chronique Sociale « Synthèse », 2005 (un ouvrage du Secteur Philosophie, en vente sur notre site)
  • Les numéros de la revue Pratiques de la philosophie (en vente sur notre site)

EPS – des pratiques..

 
Compétition oui ; élimination, non !, Bruno Cremonesi
Revue Dialogue n°122 « Formation : alternances ou alternatives. » octobre 2006
 
Laisser le temps aux enfants de jouer, de s’approprier les règles proposées, de chercher les possibles, rendre la liberté et le pouvoir d’agir aux enfants, voilà des voies nouvelles qui visitent pourtant des propos pédagogiques bien anciens. C’est en ce sens que le jeu peut devenir un puissant vecteur d’apprentissage.L’article montre en quoi le jeu permet le développement de l’individu et dans quelles conditions.lire
 
 
 
Vidons la caisse, Jean Jacques Vidal
Revue Dialogue n°120 « Le savoir ça se construit, l’émancipation aussi.«  » avril 2006
 
Un jeu collectif où l’on travaille des compétences de lancer à distance et de précision, mais pas seulement. C’est aussi l’occasion de revisiter les actions à plusieurs pour perfectionner le jeu, comparer les techniques, affiner les règles. Au final, une charte du jeu est élaborée par la classe qui pourra servir pour échanger avec d’autres classes.lire
 
 
 
A chacun sa carte… ou comment repérer « son espace », J-C Croquet
Revue Dialogue n°53 « Histoire Géo »
 
Comment apprendre à s’orienter, se repérer dans un espace à partir de ce que je vois mais également de ce que je ne vois pas ?
Prenant le prétexte d’une journée d’appropriation de l’espace du collège par les élèves de 6ème, une équipe pédagogique organise une série de situations pour que chacun s’approprie cet environnement. Puis l’espace s’élargit et l’itinéraire réalisé par une classe est testé par un autre groupe…lire
 
 
 
 
 
Voir également :
 
 
 

Arts visuels – des pratiques..

 
 
Petit théâtre d’objets, Sylviane Maillet, Bernard Mayaudon
Revue Dialogue n°132 « Culture : Combats pour l’émancipation(2) », avril 2009
 
Le théâtre d’objets établit une relation très forte avec l’imaginaire,mais c’est le rôle qu’il fait jouer à l’acteur par rapport à l’objet qui le rend singulier. Ces deux dimensions ont été déterminantes pour que le secteur arts plastiques recherche et création monte une démarche de création sur le théâtre d’objets, ouvert à un vaste champ artistique : théâtre, arts plastiques, écriture danse et vidéo, et où se jouerait le tous capables. lire
 
 
 
 
Moteur…ça tourne ! Patricia Lamouche
Revue Dialogue n°132 « Culture : Combats pour l’émancipation (2) » avril 2009
 
Nous connaissons tous le dispositif « école et cinéma » qui propose de faire découvrir aux élèves des films du patrimoine culturel, des films étrangers, des films en noir et blanc… pour apprendre à voir des images animées différentes de celles proposées habituellement. Mais passer au tournage, c’est une autre affaire… Cet article montre l’intérêt d’une telle expérience et décrit ces projets qui transforment les élèves « consommateurs goulus d’images » en spectateurs actifs, capables de choisir plutôt que de subir. lire
 
 
Instaurer un regard sur les productions graphiques/plastiques en petite section, Hélène Cohen Solal
Revue Dialogue n°134 « Pour que la maternelle fasse école » octobre 2009
 
A partir de plusieurs approches de productions graphiques des enfants, il s’agit de construire avec eux le rapport de pourvoir/puissance de transmission. De l’empreinte au dessin, des traces aux signes on arrive à classer ce qui relève du geste qui s’essaie d’une part, du dessin chargé d’une intention d’autre part. Un travail qui met en mémoire toutes ces traces et donne un statut aux expériences graphiques dès la petite section.lire 
 
 
Voir également :
  • Oser le geste plastique, Hélène Cohen-Solal
« Journal du regard », GFEN, Revue Graffite N°25, p.1-7.
Le visible ne se partage qu’en termes d’images instruites par la voix.
 
 
 
 

Langues vivantes – des pratiques…

ESPAGNOL
 
 
 
Comment commencer l’année ?
– « Je me présente, tu me présentes, nous… »  (A1 à débutants) sur le site Langues
 
 
 
Apprendre à se présenter est un des « classiques » du début d’année dans le cours de langue. Pour autant,les tâches proposées aux élèves sont souvent strictement scolaires et ne correspondent pas à de véritables situations sociales. C’est sur ce type de situations que repose l’atelier qui suit, qui prend en compte également une autre dimension importante à faire construire en début d’année, surtout par des débutants : on peut lire des tas de choses et comprendre sans connaître tous les mots,autrement dit, comprendre sans tout comprendre.
 
– « Le jeu de l’oie. Etablir le contact et installer l’oral dès le début de l’année »
 
 
 
La compréhension. Accepter de ne pas tout comprendre pour pouvoir comprendre  (A2-B1) sur le site Langues
 
 
 
In M.A. Médioni, Enseigner la grammaire et le vocabulaire en langues, Chronique sociale, Lyon, 2011, pp. 84-88 (Formation)L’accent placé sur la compétence communicative par le CECRL a mis à l’ordre du jour la compréhension comme une des activités langagières à travailler en priorité dans les classes de LE. A partir d’un certain nombre de situations mises en place dans la classe, un atelier pour permettre aux enseignants et aux formateurs, toutes langues confondues, de s’emparer de certains outils susceptibles d’aider à travailler les stratégies de compréhension des apprenants, de réfléchir à cette activité proprement dite – et éviter ainsi des confusions regrettables -, et de l’articuler avec les autres activités langagières dans une séquence d’apprentissage.Christophe Colomb. Vérité et mensonge. Quand l’erreur fait l’histoire. (B2-C1) sur le site Langues

S’attaquer à une figure de cette dimension n’est pas une mince affaire : adulé et honni à la fois, il symbolise tous les maux rattachés à « la destruction des Indes » pour les uns, l’aventure et l’utopie pour les autres. L’affaire se complique du fait que perdurent un certain nombre d’énigmes concernant le personnage : ses origines, ses objectifs réels, la fortune de ses restes après sa mort… Tout cela en fait un personnage historique et mythique à la fois dont on a envie d’approfondir la personnalité mais dont l’ampleur effraie tout aussitôt.

Voir également :
  • Les enjeux de la communication. Le traitement de l’hétérogénéité (A1-A2), Maria-Alice Médioni

« Le réceptionniste », Enseigner la grammaire et le vocabulaire en langues, Chronique sociale, Lyon, 2011, pp. 104-118

Une classe, comme tout regroupement, comporte de l’hétérogénéité. Cet atelier présente une modalité de travail qui permet d’utiliser cette hétérogénéité comme un levier, comme une ressource – alors qu’elle est souvent perçue comme un obstacle – pour porter plus loin le travail d’acquisition.

  • Ser et estar. Construire la notion de choix de l’énonciateur

In M.A. Médioni, Enseigner la grammaire et le vocabulaire en langues, Chronique sociale, Lyon, 2011, pp. 192-201

Pour les élèves le choix entre ser et estar présente un réel problème. En français, il n’existe qu’un signe, « être » alors qu’en espagnol, il en existe deux, puisque cette langue semble disposer d’un « raffinement de vision supplémentaire ». Véritable casse-tête quand il s’agit de choisir entre les deux, surtout lorsqu’on rencontre des emplois où tous deux sont compatibles. C’est donc certainement sur ce degré de complexité supérieure qu’il faut travailler avec les élèves, en les invitant à prendre le risque de perdre leurs repères habituels – hérités du français ou construits trop rapidement, de façon simplificatrice – pour s’en créer de nouveaux et pouvoir savourer toute l’étendue des possibilités offertes par ces deux verbes.
 
 
 
ALLEMAND
Hans im Glück (A1) sur le site Langues
 
Entrer dans le conte : de la présentation à la représentation. Sans connaissance préalable de la langue, réussir à s’approprier ensemble un contenu culturel et à le transmettre oralement.
 
 
 
 
ANGLAIS
Turner, ou l’art dans tous les sens sur le site Langues
 
Une oeuvre, la décrire c’est bien ; l’écrire c’est mieux.
 
 
 
 
FLE
Les p’tits plaisirs (B1-B2) sur le site Langues
 
Nous avons tous des petits plaisirs quotidiens, quelles que soient notre langue et notre culture. Comment les faire entrer, les évoquer, les convoquer dans la classe ? Cet atelier en tissant des liens entre les pratiques culturelles de chacun et à partir de l’ouvrage de Philippe Delerm, La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules, aura pour tâche finale de réaliser un café littéraire.
 
 
 
 

Articles

MEDIONI Maria-Alice, « Pour apprendre une langue, il faut la parler », in Le journal de l’alpha, Bruxelles, n° 172, février 2010, lire
 
MEDIONI Maria-Alice, « Des groupes de travail  pour se construire des compétences « , in Cahiers pédagogiques, Enseigner les langues vivantes avec le Cadre européen – Nouvelle édition, avril 2010, pp. 255-258.lire
 
MEDIONI Maria-Alice, « Activités langagières et compétences », in  Cahiers pédagogiques, Enseigner les langues vivantes avec le Cadre européen – Nouvelle édition, avril 2010, pp. 267-270.lire
 
 
 
 

Technologie(s) – des pratiques…

Du texte littéraire aux concepts technologiques : de Balzac à l’analyse fonctionnelle d’un habitat, Jacqueline Bonnard, Philippe Gesset
Revue Dialogue Hors Série « Prendre pouvoir sur l’écrit », décembre 2011
Partir d’une approche technologique de l’habitat prescrite dans les programmes pour construire une situation déclenchante s’appuyant sur un texte littéraire. Tel est le pari de deux enseignants de REP (Français et Technologie) qui proposent de travailler collectivement sur un texte de Balzac décrivant l’habitat d’une famille de paysans au 19ème siècle avant d’étudier les espaces de vie d’une maison. De la lecture à l’écriture individuelle puis collective au transfert des connaissances acquises dans un nouvel environnement, l’apprentissage de l’abstraction s’appuie sur la force du collectif.  lire   
 
 
 
Du geste au concept (cycle 1), Jacqueline Bonnard 
« Pince alors ! Et autres objets techniques… »
 
Revue Dialogue n° 150 « Prendre en compte la spécificité des jeunes élèves et promouvoir des apprentissages ambitieux pour tous » – Actes des Rencontres nationales pour l’école maternelle, 2013.

Si l’enjeu de l’école maternelle est de préparer les jeunes enfants à devenir élèves, comment installer chez eux une posture de chercheur ? Dans la « découverte du monde », plus particulièrement en s’appuyant sur l’observation et la manipulation des objets du quotidien, il s’agit de dépasser le « faire » pour interroger ce qui semble si familier et en faire un objet d’étude. L’apprentissage de l’abstraction passe par des étapes incontournables, reprises ici en s’appuyant sur un exemple  facile à investir : « la pince à linge ». lire

 

 
 
 
Les engrenages (cycles 2 / 3), Jacques Bernardin
« Modifier le rapport aux objets : dessine-moi un vélo… », 
Comment les enfants entrent dans la culture écrite, Retz, 2002

En prenant appui sur l’expérience des enfants à propos d’un objet familier : la bicyclette, il s’agit ici de travailler sur le principe technique des engrenages et comprendre la démultiplication du mouvement. Passer du statut d’utilisateur à celui de technicien, voilà ce qui est proposé aux élèves pour opérer une mise à distance réflexive à propos du vélo et repérer les impasses historiques liées à la conception de « la petite reine ». lire

 
 
 

Habitat et ouvrages (5ème), Jacqueline Bonnard 

« Sur les traces de savoirs construits sur les murs de la ville… »
 
 Revue Dialogue n° 148 « Des pratiques pour transformer l’école », GFEN, avril 2013

Celui qui promène un regard curieux sur les murs de la ville découvre les savoirs construits par des générations de bâtisseurs. La proposition faite ici est de préparer un parcours architectural dans la ville, permettant d’établir des passerelles entre différentes disciplines : histoire, lettres, arts plastiques, technologie. Sortir de la classe, retrouver les contours des espaces construits selon les périodes historiques, relever les détails architecturaux selon les époques… c’est outiller le regard et s’inscrire dans une histoire collective, celle des hommes qui nous ont précédés pour mieux se projeter dans l’avenir. lire

 
 
 

L’écriture, mémoire de travail (collège), Philippe GESSET

« L’écriture mémoire d’un travail intellectuel en technologie »
Revue Dialogue n°Hors-Série « Penser l’aide au coeur des apprentissages » – Actes des 6è Rencontres nationales sur l’accompagnement, St Denis, décembre 2013.

Quelle place de l’écrit dans une séquence en technologie ? Et pourquoi est-il nécessaire d’écrire dans le processus d’apprentissage, à quel(s) moment(s), sous quelle forme ? A partir d’exemples pris en classe de 6ème et de 3ème, l’auteur précise les différentes formes et statuts de ces écrits qui participent à l’élaboration d’une mémoire collective de travail. lire

 
 
 

Des pistes pour mettre un concept en travail avec des élèves de l’enseignement technologique, Daniel Rome

Revue Dialogue n°114 « spécial pratiques« , octobre 2004
Comment mettre en travail le concept d’état avec des élèves de l’enseignement technologique ? Qu’est-ce que l’état ? Faut-il plus ou moins d’état ? Pour aborder les chapitres consacrés à la place de l’état dans la vie économique, il est nécessaire d’être au clair sur le concept.  La démarche présentée ici tente de sortir du « cours sur… » ou de l’implicite pour mettre les élèves en réelle réflexion sur le concept. lire
 
 
 
Culture technique – Raconte-moi l’objet, il te dira qui tu es, Jacqueline BONNARD
 
Revue Dialogue n°100/101 « Cent et un idées d’éducation nouvelle« , juin 2001
 
On oppose régulièrement « manuels » et «intellectuels» et les filières techniques de notre système éducatif sont souvent un pis-aller pour ceux qui n’ont pas pu suivre la filière classique du lycée d’enseignement général. Nous sommes tous porteurs d’une culture technique mais se résume-telle au geste utile ? Une démarche pour explorer cette partie de notre patrimoine et notre rapport à l’objet : à travailler en classe ou en formation.lire
 
 
 
Quelques idées reçues sur l’atelier d’écriture, Sylvie CORDESSE MAROT
L’atelier d’écriture, au service de l’acquisition de savoirs en STT
 
Revue Dialogue n°108 « Des idées qui ont la vie dure« , avril 2003
 
Peut-on utiliser l’atelier d’écriture dans les enseignements technologiques ? Il s’agit ici de s’initier et de s’entraîner à une écriture argumentative. Tout commence par l’élaboration de listes de mots : on cherche des mots, on les associe entre eux et dans cette dynamique la pensée se fabrique. Qu’on ne s’y trompe pas, l’atelier d’écriture est un outil puissant pour débloquer la pensée et préparer l’apprentissage. L’auteur explore quelques idées reçues à ce sujet avant de proposer un descriptif de séquence s’appuyant sur ce dispositif. Une idée originale à tester… lire
 
 
 
  • Voir également
Enseigner le management par des situations-problèmes, Sylvie Cordesse MarotChronique Sociale « Savoir communiquer », 2015, 192 p, en savoir plus
 
Découvrir le monde des objets, former des chercheurs dès la maternelle , Jacqueline BonnardChronique Sociale « Pédagogie/ formation », 2015, 109 p. en savoir plus

Sciences – des pratiques…

(CE1), Jean Bernardin , lire
« Où est la pomme que j’ai croquée ? La digestion au CE1 »
 
Bulletin « Spécial Sciences », GFEN 28, 1998/2002.
 
style= »font-size: 11px; »>Comment passer du corps perçu au corps représenté, de la notion d’organe à celle de système d’organes remplissant une fonction ? Chaque enfant s’interroge sur le trajet de l’aliment (ici une pomme) dans le corps et le dessine. Du dessin au questionnement… confrontation des points de vue… apports extérieurs… et progressivement se construisent des savoirs sur le fonctionnement du corps humain, de ses besoins et de la fonction des différents organes.
 
 
 
 (Cycle 3 – CM),Françoise Duny lire
 
Revue Dialogue n°70 « Oser rompre avec le conformisme mental », GFEN, juin 1990
 
« Comment vit le foetus dans le ventre de sa mère ? Comment mange-t-il ? » Telle est la question posée par des élèves de Cours moyen en début d’année et qui donne lieu à cette démarche d’auto socio construction.Quatre séances où progressivement l’on casse les représentations mentales pour se construire un savoir scientifique.
 
 
 
La terre nourricière ? Chaînes alimentaires, équilibre de la nature… Odette Bassis, lire
« Une démarche en biologie ! Mieux, en écologie… »
 
Revue DIALOGUE n°143 « Du développement durable au développement solidaire », GFEN, 2012.
 
« Qu’est-ce qu’une chaîne alimentaire T Et sur quoi est basé essentiellement l’équilibre de la nature ? » Il s’agit d’interroger le « développement durable » mais les pieds sur terre ! L’important dans cette démarche est d’aborder la signification de « Terre nourricière », terme utilisé jusqu’à la fin du 19 ème siècle et notion élucidée aujourd’hui : chaîne de transformations multiples où ce qui ne se voit pas de cette terre que nous foulons et arpentons, y est intégré comme facteur décisif de l’équilibre de la nature.
 
 
 
La chute des corps (2nde), Ludovic Arnaud, Julien Pinet, lire
« Les boules qui rendent maboules »
 
>Revue Dialogue n° 148 « Des pratiques pour transformer l’école », GFEN, avril 2013
 
« Trois boules lâchées en même temps d’une même hauteur : laquelle arrivera la première ? » Evidemment, il faudra justifier la réponse. Tel est le problème posé en physique à des lycéens. De la perception à la formulation d’hypothèses le questionnement est riche mais vient se heurter aux images de l’une vidéo de l’expérience passée au ralenti…
 
 
 

Pourquoi on tousse quand on avale la tasse ? (cycles 2 et 3), Chantal Metttoudi, lire

 

Revue Dialogue n° 45 «Sciences »

 

« On n’apprend bien que ce qui répond aux questions qu’on se pose », écrivait JJ Rousseau. C’est à partir de ce constat que cette collègue propose de mener des activités d’éveil scientifique en partant de questions que se posent les élèves  au cours et à la suite d’activités en EPS. 
Prenons l’exemple de la natation : Pourquoi on tousse quand on avale la tasse ?
 
 
Le parachute (du cycle 1 au cycle 3), Anne Marie Legrand, lire
 
Revue Dialogue n° 45 «Sciences »
 
Un peu d’aérodynamique, cette science qui étudie les phénomènes accompagnant tout mouvement relatif entre un corps et l’air que le baigne. Pour aborder ces phénomènes, l’enseignant propose de fabriquer un parachute. Mais comment faire pour que ça marche ? Est-ce une histoire de longueur de ficelles ? Cela dépend-il de la surface ou de la forme de la « toile » ?…
Du questionnement à la formulation d’hypothèses dont ils vérifient la pertinence, les enfants  découvrent la présence de l’air  comme une matière dont le poids n’est pas ressenti mais existe tout de même, et que le vent n’est que l’air en mouvement.
 
 
 
 
Voir également
  • Chantiers de Sciences. Constructions de savoirs en Sciences Physiques et Chimiques.
    Un site conçu par Jean-Claude MAROT.