38ème congrès de la FNAREN, 25-28 juin, Malakoff 2 avril 2025 Valérie Pinton Aider à l’école. Quelles postures professionnelles ? Une réflexion au coeur de l’aide relationnelle. Ce congrès a l’ambition de soutenir une réflexion qui se centre sur le thème des postures professionnelles. La spécificité de l’aide relationnelle à l’école nous rend sensible à cette question.Dans le contexte de l’école inclusive, la diversité et le nombre « des besoins éducatifs particuliers » augmentent. La tendance à proposer l’utilisation de protocoles aux enseignants, spécialisés ou de classe, se généralise. L’introduction de ces outils dans la pratique enseignante nous amène à interroger les postures professionnelles : écoute, accompagnement, accueil, attitude réflexive…Enseignantes et enseignants spécialisé.es en aide relationnelle, nous accomplissons nosmissions au sein d’une équipe de RASED (Réseau d’aides spécialisées aux élèves en difficulté)dans les écoles primaires, en concertation avec les équipes enseignantes.L’aide spécialisée relationnelle-rééducative est préconisée pour aider certains enfants n’ayant pas une attitude d’élève. Ils résistent aux actions éducatives, sont empêchés d’apprendre, débordés par eux-mêmes dans l’agitation ou l’inhibition. En risque de décrochage, ils sont parfois violents, se trouvant dans l’impossibilité de mettre leur pensée en mouvement. Ainsi, l’école peut être mise en difficulté dans l’exercice de ses missions.L’aide relationnelle-rééducative repose sur l’idée que ces conduites sont l’expression de réactions émotionnelles face aux situations d’apprentissage et de la vie en groupe.Pour les aider à sortir de cette impasse, les enseignant.es spécialisé.es interviennent en proposant un espace de médiations, telles que le jeu de fiction, les jeux de société ou le travail artistique, dans un cadre structuré à la fois souple et limitant. Par cette expérience de jeu et de création, l’enfant est amené à éprouver la nécessité de l’ouverture à l’altérité et du respect des règles, pour le bon déroulement de la séance et de la réalisation de ses inventions.Ainsi, des changements s’opèrent chez l’enfant dans son rapport au monde, à l’école et dans la classe. Soutenu par l’adulte, il prendra le risque de lâcher une posture dommageable pour adopter une attitude tout à la fois, constructive et gratifiante dans un projet de création partagé.Les capacités de réflexion et de représentation sont sollicitées et renforcées par les temps de verbalisation. L’expérience commune devient objet de réflexion, les émotions peuvent être parlées et mises à distance. Un espace de pensée peut s’ouvrir à l’enfant.Pour assurer au mieux l’efficience de ce dispositif, l’enseignant.e spécialisé.e, tout en s’ajustant à la singularité de l’enfant aidé, aura à adopter des postures référées au cadre scolaire. Le professionnel garantit la sécurité en posant les interdits tout en stimulant les capacités de création de l’enfant.Cette aide relationnelle-rééducative repose également sur les liens entre le travail de proximité avec l’enfant et le travail institutionnel entre adultes enseignants et partenaires extérieurs, ainsi qu’avec sa famille.La réflexion portant sur ce cadre de relations nous conduit à interroger le sens des places occupées et des postures adoptées par chacun dans un dispositif d’aide et donc, de notre propre posture professionnelle. Comment garder la bonne distance ? Comment éviter de réduire l’enfant aux difficultés qu’il manifeste ? Comment accueillir l’agressivité lorsqu’elle émerge, inciter à sa transformation, tout en maintenant un cadre et des interdits ? Comment solliciter l’invention et relancer la pensée ?Par ailleurs, comme l’indique son sens premier dans le langage du corps, la posture suppose un maintien. Il y aurait donc quelque chose à tenir tout en permettant le mouvement et la circulation. Les postures professionnelles seront à envisager dans leurs liens avec une certaine éthique, celle du respect de la personne, et celle du cadre des relations en jeu dans l’institution scolaire. Ces 3 piliers, posture, éthique, cadre, tiennent ensemble et constituent pour nous un socle de repères. Sans oublier que la souplesse et l’inventivité sont toutes deux requises pour répondre aux exigences des situations multiples et complexes des écoles aujourd’hui.Nous espérons que ce congrès fera avancer notre réflexion professionnelle et contribuera àla réalisation d’une école plus « incluante ». Tout savoir sur le Congrès
Enfance, culture, musique & pédagogie s’entretient avec Pascal Diard 31 mars 2025 Valérie Pinton Le site Enfance, culture, musique & pédagogie consacre son 11ème numéro (janvier 2025) aux Pédagogies actives. Voir la vidéo de l’entretien de Cristina Agosti-Gherban avec Pascal Diard Retrouvez également les entretiens menés avec : Philippe MeirieuCatherine Peyrot (Pikler Loczy-France)Marie-Ève Collard Thivillier et Catherine Cortesi Mazurie, (Éduc’ Freinet)Christophe Moullé et Jonathan Levy (association française Janusz Korczak) Isabelle Girard (L’école Decroly)Jean-Baptiste Clerico (CEMEA France)
Compte-rendu du comité consultatif de l’ANLCI 31 mars 2025 Valérie Pinton Le 20 mars 2025, plus de cinquante associations ont participé au Comité consultatif de l’ANLCI au siège de l’ISCPA – Groupe Igensia à Paris. Jacqueline BONNARD, secrétaire nationale y représentait le GFEN. Ce fut l’occasion d’échanger sur les différentes actions menées contre l’illettrisme, l’illectronisme, l’inumérisme. Pour l’année 2025, le public ciblé sera les jeunes de 16 à 29 ans. voir le compte-rendu ANLCI : Agence Nationale de Lutte Contre l’Illettrisme – anlci.gouv.fr
Conférence interrompue animée par Dominique Piveteaud, 23 avril, Chartres 28 mars 2025 Valérie Pinton Lecture : au-delà de la maîtrise du code Mercredi 23 avril 2025, 13h30 – 16h30Eure-et-Loir Campus – 21 Rue de Loigny la Bataille – Chartres (parking) A l’aube de l’application de nouveaux programmes pour le cycle 1 et Cycle 2, quel regard sur les programmes mis en oeuvre en 2018 ? Les nombreuses évaluations nationales nous indiquent en 2025 que la compréhension reste toujours difficile pour un grand nombre d’élèves !Où sont les 100 % de réussite promis en 2017 ?Au-delà de la méthode, comment permettre aux élèves de devenir des lecteurs, penseurs du monde ? Voir l’invitation Dominique PIVETEAUD est l’auteur de plusieurs livrets « Apprendre à lire et à écrire à partir de l’album … » et du livre « Comment lisent les enfants du Chaperon Rouge ? Lire et écrire au C.P. : enjeux et pratiques » – Editions L’École. S’inscrire auprès de G.F.E.N.28@wanadoo.fr
Discriminations – Racisme/ Alternatives alimentaires, 13 avril, Annecy 28 mars 2025 Valérie Pinton Le GFEN Haute-Savoie est associé à cette initiative dans le cadre des semaines nationales, contre les discriminations et le racisme. Lire l’article « Militantisme et pédagogie pour construire la paix » de Colette Charlet publié dans le Bulletin Article paru dans le Bulletin de la FSU-Snuipp 74, mars 2025
Nouveaux programmes de cycles 1 et 2, l’entêtement d’un ministère déconnecté de la réalité 28 mars 2025 Valérie Pinton Tribune signée par : FSU-SNUipp, SE Unsa, CFDT EFRP, CGT Educ’Action, SUD Éducation, AGEEM, ANCP, AFEF, APMEP, ICEM, GFEN Publiée dans le Café Pédagogique le 12 mars 2025 Des programmes au service des élèves, vraiment ? Le 5 décembre 2023, jour des résultats des évaluations PISA, Gabriel Attal, alors ministre de l’Éducation nationale, faisait des annonces à grand renfort de communication sur ce qu’il appelle alors le « Choc des savoirs », présenté comme le seul outil pour « relever le niveau des élèves ». Pour le premier degré, ces annonces concernaient une modification en profondeur des programmes de français et de mathématiques. Elles témoignent une nouvelle fois de la volonté ministérielle de tout axer sur les seuls « fondamentaux », jugés comme la pierre angulaire de tous les apprentissages. Après un semblant de concertation, le Conseil Supérieur des Programmes a produit des contenus pour le cycle 1 et 2 en lien avec la feuille de route du ministère, mais pas avec l’ensemble des travaux de la recherche. Ces programmes beaucoup plus détaillés et donc beaucoup plus contraignants sont parus malgré un vote quasiment unanime en contre du Conseil Supérieur de l’Éducation. Selon nous, ils déroulent une conception mécaniste des apprentissages avec des objectifs à atteindre fixés à chaque âge, comme si tous les enfants apprenaient à parler, à lire, à écrire, à compter ou à résoudre des problèmes au même moment. La diversité des rythmes d’apprentissage des enfants est niée, ainsi que les recherches en la matière. Ces programmes partent du principe que ce qui est enseigné est immédiatement compris, appris et retenu par les élèves. Or, l’enseignement est bien plus complexe. Maitriser des compétences demande du temps et des méthodes diverses et adaptées selon les élèves. Un grand nombre d’enfants, notamment les plus fragiles, se retrouveront en difficulté dès le plus jeune âge car ils ne correspondent pas à l’élève type théorique pris comme norme universelle. Alors que l’inclusion scolaire et la prise en compte des élèves à besoins particuliers font partie des enjeux de l’École d’aujourd’hui, ces programmes les ignorent complètement. Un ministère qui n’écoute pas les personnels Anne Genetet a poursuivi cette politique avec l’acte 2 du « Choc des savoirs » qui, sous prétexte de réduire les inégalités, n’en produira que davantage. Les programmes de cycle 3 sont à l’écriture et entreront également en vigueur en septembre 2025. Au vu des premiers échanges avec la Dgesco, force est de constater qu’ils s’inscrivent dans la même logique. Une logique à l’opposé des programmes de 2015 qui avaient été conçus avec la coopération des enseignantes et enseignants au travers d’une réelle concertation, mais également avec l’ensemble de la recherche en sciences de l’éducation et en didactique. Des programmes ambitieux, fondés sur un consensus académique avec des repères de progressivité au sein de chaque cycle, à la main des équipes pédagogiques. Il est plus que dommageable qu’ils aient été remis en cause dès 2017 par le ministre Jean-Michel Blanquer car l’École, pour se transformer, a besoin d’un temps long qui n’est pas celui du politique. Alors que l’École traverse une crise structurelle et fait face à un effondrement du recrutement, ces changements incessants de programmes ne répondent pas aux enjeux et sont source d’épuisement pour les professionnel·les qui se retrouvent déstabilisé·es par des ordres et des contre ordres qui font perdre le sens du métier. Les évaluations des différentes mesures mises en œuvre depuis 2017 montrent clairement leur inefficacité comme vient de le montrer la DEPP. Ces programmes sont de la même veine et ne vont en rien permettre la réussite des élèves. Une professionnalité niée En visant principalement l’objectif d’améliorer les « scores » des jeunes élèves lors des évaluations nationales et internationales, les nouveaux programmes brident à la fois les choix didactiques et pédagogiques des équipes enseignantes, nient leur expertise et transforment les professeur·es des écoles en de simples exécutant·es de programmes livrés « clés en main ». Les équipes de formateurs et formatrices se retrouvent dans l’obligation de les mettre en œuvre, tout comme les professeur·es des écoles, alors qu’elles savent que ces programmes ne tiennent pas compte du réel et sont impossibles à mettre en œuvre sans exclure une majorité d’élèves. Actuellement dans les départements, les plans de formations engagés depuis la rentrée sont modifiés et adaptés (une nouvelle fois en urgence) en fonction de l’agenda ministériel. Tout, sur le fond comme la forme, semble réuni par le ministère pour que l’adhésion de la profession soit la plus faible possible. Or ce qui est certain, c’est qu’une politique éducative qui n’est pas approuvée par le terrain a peu de chance d’avoir des effets bénéfiques pour l’amélioration globale d’un système éducatif qui reste profondément marqué par les inégalités scolaires. A l’opposé de ce qui est proposé actuellement, une formation initiale repensée s’inscrivant dans la réalité des classes et des élèves est nécessaire. Pour tâcher de résorber les inégalités, l’École n’a pas besoin de nouveaux programmes, mais d’une diminution du nombre d’élèves par classe, ce qui passe par un recrutement de professeur·es des écoles, à rebours des suppressions de postes annoncées pour la rentrée 2025.
21ème Rendez-vous du Secteur Langues 24 mars 2025 Valérie Pinton La poésie en classe de langues Samedi 12 avril 2025, de 9h à 17h, au CABV de Vénissieux (69) Nous vous proposons une journée de travail/réflexion sur le thème La poésie en classe de langues.La poésie est un genre littéraire complexe, voire hermétique pour beaucoup, considéré comme trop difficile ou inaccessible pour les apprenants.En classe, dans leurs propositions de travail, les enseignant.es sont souvent tiraillé.es entre le prétexte au travail scolaire et le « monument » qu’on n’ose pas aborder. Ce genre littéraire est d’ailleurs peu nommédans le CECRL.Et pourtant, la poésie a une dimension libératrice, elle ouvre une porte à l’imaginaire, à la créativité qui rassemble, éblouit ou interpelle, mais ne laisse jamais indifférent.Dès lors, comment aborder la poésie en classe de langue sans la saborder ? Quel dispositif mettre en place ? Quelles propositions de travail ? Quels supports utiliser, autres que le texte lui même, pourrendre la poésie plus accessible et compréhensible ? Comment entrer dans le processus de création (celui de l’artiste mais aussi celui des apprenant.es) sans préalable d’inspiration ou de maitrise des codes ?Comment écrire, lire et dire le monde ? Comment dépasser le simple commentaire littéraire d’un poème pour en faire un objet de création et donc d’apprentissage ? Programme/ Inscription
Formations & Interventions du GFEN 37 23 mars 2025 Valérie Pinton Stage FSU-SNUipp 79 « Pédagogies alternatives : faire la classe autrement »3 avril 2025, Niort« COOPERATIVES, FREINET, MONTESSORI, ACTIVES, NOUVELLES, ÉCOLE DEHORS … Il existe une multitude de pédagogies innovantes ou simplement différentes, le SNUipp-FSU des Deux-Sèvres propose une journée de réflexion sur ce thème et des ateliers pour donner des outils aux collègues qui souhaitent s’engager dans ces pédagogies.Nous découvrirons la philosophie de différentes pédagogies alternatives, et nous proposerons des partages d’expériences avec des enseignants de notre département.Nous souhaitons aussi lier l’apport sur ces pédagogiques avec ce que nous vivons actuellement à l’Éducation Nationale. Nous aborderons les risques de la politique du Choc des Savoirs et l’importance des pédagogies alternatives dans ce contexte. » en savoir plusInterventions de Jacqueline Bonnard (GFEN 37) et Sylvie Lange (GFEN IDF) Stage syndical SNUIPP 37 : » Ecole maternelle : des pratiques « , maison des syndicats Saint Avertin, 20 février 2024 Stage syndical FSU 41 : » Pour une évaluation positive du travail de l’élève« , maison des syndicats à Blois, 21 octobre 2023 Stages syndical FSU 41 : « citoyens dans le savoir » , maison des syndicats à Blois, 18 avril 2024 Formation de formateurs, lettres/hist/géo, lycée professionnel ( GR 37/ GR Îdf/ GR28) : « Mettre en œuvre des pratiques homologiques en formation, » – 24 nov, 18 déc 2023, 10 janv 2024 ISFEC Bretagne : » Apprendre à se poser des questions en résolvant des prolèmes concrets » (cycle 1) – site de Vannes : 23/24 oct 2023, 14 fév 2024 – site de Rennes : 22/23 avril, 12 juin 2024
Retour sur le Stage GFEN « Apprendre pour quoi faire ? » 7-8-9-10 mars 2025, Toulouse 23 mars 2025 Valérie Pinton Une manière de re-poser le rapport entre pédagogie et sens, finalités, valeurs…le politique-humain. Un stage prévu pour accueillir un public varié (étudiants en M1 MEEF, parents enseignants, étudiantes en AS…), sur plusieurs jours (vendredi, samedi matin, dimanche matin, lundi), avec différentes entrées, sur deux lieux (Plateforme Toulouse citoyenne au Mirail, Atelier Archipel à Arnaud Bernard au centre-ville).Des démarches et des chantiers de réflexion (utilisant aussi des outils réinvestissables) Un temps d’accueil et de présentation du gfen et du stage, de ses enjeux qui a généré, certainement de part la diversité du public, une grande richesse de questionnements. […] Lire la suite du compte-rendu Revoir la présentation du stage
Ateliers du secteur Création d’Ile de France (2024-2025) 23 mars 2025 Valérie Pinton Lieu : Ivry sur Seine (94) RER C Ivry ou Métro L7 : Mairie d’Ivry (salles à préciser)Horaires : 14h : accueil / 14h30-18h30 : atelier Dimanche 22 septembre 2024 : première réunionPlusieurs points à l’ordre du jour : Le calendrier pour les ateliers de cette année.Les nouveaux ateliers : nous comptons sur vos souhaits, ce qui vous ferait plaisir, vos urgences.Un bilan des stages : Ecriture/ Poésie et Arts Plastiques.Vous pouvez apporter vos oeuvres – nous pourrons partager ainsi des moments d’échanges festifs.Et puis un moment important également. En effet même si vous n’avez pas eu la possibilité de participer à ces stages, il se peut qu’au cours de vos vacances il y ait eu des situations qui vous ont fait réfléchir, vous ont interrogés (ées) et dont vous souhaiteriez parler. Mercredi 9 octobre 2024 – « Atelier passant » dans IvryCet atelier permettra d’inviter les Ivryens et Ivryennes à participer à nos ateliers du GFEN Dimanche 24 novembre 2024 – Surréalisme et collagesAtelier Arts Plastiques Dimanche 2 février 2025 – Territoires et Echanges … des liens se tissent. Un atelier d’écriture pour explorer la notion de territoire(s). Qu’est-ce qui rend nos territoires agréables à vivre, justes, paisibles ? Et d’ailleurs, c’est quoi un territoire ? Dimanche 23 Mars 2025 – Pérégrination plastique et textuelle – le blanc dans tous ses états.salle Voltaire, place Voltaire, Ivy sur Seine Atelier Arts Plastiques/Ecriture Dimanche 6 Avril 2025 – Clameur et QR codesAtelier Ecriture Week-end de l’Ascension / 1er Juin 2025 – Marché de BloisAtelier Ecriture Bientôt plus de précisions sur la teneur des ateliers La participation pour chaque atelier : 4 € pour les adhérents et adhérentes au GFEN / 6 € pour les non-adhérents et non-adhérentesInscription à sylvie.gfen@gmail.com
Rencontre OZP sur la politique d’Education prioritaire – 26 mars 21 mars 2025 Valérie Pinton Autour de l’ouvrage « L’éducation prioritaire : une politique féconde pour le système éducatif », par le collectif Langevin-Wallon (Le Croquant, décembre 2024). Les membres du collectif Langevin Wallon présentent leur ouvrage à l’OZP. Leur présentation sera suivie d’une intervention de Jean-Yves Rochex et d’un débat. Mercredi 26 mars 2025 de 17h précises à 19 hEn présentiel : Collège Poquelin, 6 rue Molière, Paris 2e (Métro Palais Royal ou Pyramides)et en distanciel : voir le lien de connexionEntrée libre sans inscription
Ateliers du GFEN Ile de France (2024-2025) 18 mars 2025 Valérie Pinton Des séances d’échanges pratiques et réflexifs à Ivry sur Seine – Ouvert à toutes et à tous calendrier-gfen-idf-2024.25-v4Télécharger Samedi 29 mars 2025 : horaires : 10h-17H INSCRIPTION Renseignements : gfen-idf-contact@lilo.org
Conférence gesticulée « La Sécu, un déjà-là de l’avenir » 29 mars 2025, Isère 18 mars 2025 Valérie Pinton … un autre récit pour se prémunir contre l’intox… Conférence [gesticulée] par Henri Tramoy militant multi-associatif du Vaucluse à l’invitation du GFEN Isère & Rhône-Alpes Samedi 29 mars 2025 à 14 h à Saint Martin d’Hères (38) ra-conf-secu-mars25Télécharger
3ème Université de Printemps du FSU SNUipp 13 – 1er au 3 avril 18 mars 2025 Valérie Pinton Pour une école émancipatrice tout est fondamental Mardi 1er avril & Jeudi 3 avril 2025Marseille et Martigues (au choix) Interventions de chercheur·ses dont :=> Jacques Bernardin, président du GFEN.=> Laurence De Cock, professeure d’histoire.=> Frédéric Grimaud, PE et chercheur.=> Des militant·es des CEMEA Échanges autour des pratiques professionnelles, des enjeux de l’éducation et des perspectives pour notre métier. Réflexions sur le syndicalisme dont nous avons besoin pour défendre l’école publique. En savoir plus
Que peut-on vraiment attendre des neurosciences ? 29 mars, Bordeaux 17 mars 2025 Valérie Pinton Une rencontre-débat avec François Gonon, directeur de recherche au CNRS, organisée par le GFEN Sud-Ouest. Samedi 29 mars 2025, 10h-12h18 rue de Tresses, Bordeaux François GONON est directeur de recherche au CNRS. Au départ, il est un neurobiologiste reconnu et régulièrement cité pour ses travaux sur les neurotransmetteurs mais depuis quelques années, il a décidé de réorienter ses recherches sur les …recherches en neurosciences.Depuis 12 ans, son équipe du CNRS de Bordeaux passe au crible des centaines d’études en neurosciences dans trois domaines : la psychiatrie, l’éducation et les inégalités sociales.Ils mettent à jour un écart abyssal entre les faits scientifiquement établis et le discours généré pour le grand public.Généralement, ce que les gens croient concernant les avancées en neurosciences est non avéré scientifiquement.Plusieurs facteurs y concourent : non reproductibilité des études initiales, biais de publications et conséquences médiatiques, mésusage des citations, exagération de l’intérêt des résultats, présentation biaisée des résultats etc.Très souvent, le discours des neurosciences favorise une vision neuro-essentialiste des comportements humains (très influencée par le discours néolibéral anglo-saxon) qui influence à son tour la formation des soignants, des enseignants avec des conséquences sur les praticiens, les patients, les élèves. Ce n’est donc pas seulement un problème d’intégrité scientifique et intellectuelle, c’est aussi un problème politique au sens large. Entrée libre, réservation conseillée : bouquey.stephane@gmail.com Télécharger l’affiche
Stage SNES-FSU : LVE « Enjeux de l’enseignement de la grammaire et du vocabulaire » 6 mars 16 mars 2025 Valérie Pinton A la demande du SNES-FSU d’Orléans-Tours, Maria-Alice Médioni (enseignante-chercheuse, formatrice et responsable du secteur langues du GFEN) a animé cette journée de stage le 6 mars 2025, à Orléans, devant 65 personnes. Quand certaines consignes institutionnelles préconisent un enseignement de la grammaire en contexte et en langue cible pour améliorer la communication, d’autres périodes prônaient d’apporter ces connaissances théoriques de manière déconnectée. Dans ce contexte mouvant, comment concilier les attentes ministérielles avec nos pratiques ? Le faut-il ? Le travail sur la grammaire et le vocabulaire peut-il conduire à l’autonomie langagière ? Faut-il en faire dans l’enseignement secondaire ? Si oui, comment ? Si dans le supérieur, le bagage théorique est souvent conséquent, comment utiliser l’espace temporel du collège/lycée pour faire le lien avec ce qui a été vu en primaire ? A quel niveau de spécialisation s’arrêter, quand il faut aussi faire du culturel et travailler toutes les activités langagières à part égale, avec si peu d’heures de cours et des élèves à profil varié ? Quid de la didactique et de la pédagogie ? En savoir plus
Journée de travail sur l’évaluation, par le Collectif Riposte Education – 29 mars 13 mars 2025 Valérie Pinton Samedi 29 mars 2025, Paris. Organisé par le collectif Riposte Education dont fait partie le GFENS’agit-il de trier les élèves selon des critères présentés comme objectifs ? d’évaluer la progression des élèves ou sanctionner un niveau atteint en fin de cycle ? d’évaluer l’enseignement, d’évaluer les enseignants ? Les examens diplômants ne font-ils pas perdurer des modes d’évaluation, des systèmes de moyennes et de mentions, de contrôle continu et d’épreuves terminales qui pèsent lourdement sur les contenus et les méthodes d’enseignement sans garantir la qualité de la formation ?…Nous vous invitons à échanger, débattre pour penser ensemble des alternatives, d’autres possibles… riposte-evaluation-29mars2025Télécharger
Démocratiser l’accès au savoir, conférence de Jacques Bernardin 11 mars 2025 Valérie Pinton Lors de la journée d’étude « Egalité des chances » de l’Académie de Montpellier – mars 2025. Conférence de Jacques Bernardin, Docteur en Sciences de l’Éducation et Président du Groupe Français d’Éducation Nouvelle (GFEN), Durée : 01:33:41A voir sur PodEduc
13ème Forum des RASED – 15 mars 2025 7 mars 2025 Valérie Pinton RASED et parents d’élèves, quels liens ? Samedi 15 mars 2025 à la Bourse du Travail (Paris 11ème), 13ème forum des RASED sur le thème « RASED et parents d’élèves, quels liens ? », avec Eva-Marie GOLDER et Matthieu PERROT. Télécharger le programme et l’argumentaire
Les Ateliers d’écriture du GFEN Sud-Ouest 2024-2025 4 mars 2025 Valérie Pinton Les ateliers d’écriture du Levain à Bègles un mardi par mois Ces ateliers sont indépendants d’une séance à l’autre et s’adressent à tous ceux qui ont envie d’exprimer ou de retrouver leur créativité dans l’écriture dans un esprit de partage et de convivialité. Ils permettent aussi de découvrir des clés pour animer des ateliers d’écriture. Sylvie Labbé, animatrice d’ateliers d’écriture depuis une bonne dizaine d’années et formée par Michel Ducom du GFEN Sud-Ouest. Elle saura titiller votre imaginaire et vous emmener sur les chemins de l’écriture, sans enjeu autre que le plaisir de la création. Car, dans les ateliers d’écriture du Levain, on écrit avec plaisir, on lit avec plaisir et on échange avec plaisir. Lieu : Théâtre Le Levain26 rue de la République, Bègles(Accès : VCUB place du 14 juillet, bus 11, 43, tram C arrêt Musard) Horaire : 19h30 – 21h30 Participation 10 € Il n’est pas nécessaire de s’inscrire mais un message pour confirmer votre venue permet d’être attendu. Renseignements : Sylvie Labbé06 74 51 31 50 ou ateliergfen33@gmail.com Mardi 3 septembre 2024 Mardi 8 octobre 2024 Mardi 5 novembre 2024 Mardi 3 décembre 2024 Mardi 14 janvier 2025 Mardi 11 février 2025 Mardi 11 mars 2025 Mardi 8 avril 2025 … En savoir plus et lire les textes écrits aux précédents ateliers : http://atelierdecrituregfen.over-blog.com Ateliers d’écriture en Corrèze Depuis 2023, les ateliers du Sud-Ouest ont fait des petits en Corrèze. Notamment à Juillac (à 25 km de Brive, 10 de Pompadour et d’Objat), mais aussi ailleurs en évènementiel, selon les occasions, les envies, les saisons.Des ateliers réguliers pour adultes ont lieu en début de mois à la Médiathèque de Juillac avec trois créneaux au choix, en fonction des disponibilités des uns et des autres.Une fois tous les 3/4 mois a lieu un Grand Café d’écriture réunissant les trois groupes autour d’un moment collectif plus festif et pour le Printemps des Poètes nous sortons dans la rue apporter la bonne poésie auprès des chalands et autres clients du Bar-PMU, par exemple.Ces ateliers sont organisés par l’association La Boite à Mots, portée par Helmi Bayol-Meijer (membre du GFEN Sud-Ouest et fondatrice (avec Maurie-Laure Piroth) des Ateliers d’écriture au Levain à Bègles), et sont ouverts à tous.Toutes les info, le planning, les évènements, les publications sur https://laboiteamots.over-blog.com/Vous pouvez aussi appeler Helmi directement au 06 41 97 32 52